17132 MESCHERS SUR GIRONDE
Latitude : (Nord) 45.55639°
Longitude : (Ouest) -0.94468°
Tarif : 2020
Stationnement, électricité 16 A : 10 €
Services : 2 €
Type de borne : Autre
Tous commerces
Les services se font à la capitainerie
Autres informations :
Ouvert toute l'année
22 emplacements
4 bornes de 4 prises électriques
Tel : +33 546 027 039
Véritable balcon sur le plus vaste estuaire d’Europe, Meschers-sur-Gironde doit sa renommée à ses grottes troglodytiques. Venez apprécier la station balnéaire la plus au sud de notre destination qui multiplie les paysages : plages, forêt, falaises et marais.
De l'édifice initial, détruit par des combats au début du xviie siècle, ne subsiste que le clocher, édifié au xve siècle. Le sanctuaire actuel, reconstruit dès la fin du xviie siècle et plusieurs fois remanié par la suite, forme un plan en croix latine.
La nef unique comprend trois travées, éclairées de baies en plein-cintre ornées de vitraux de facture récente. Le chevet, très sobre, est constitué d'un mur aveugle, de même que les deux croisillons. Des voûtes en plâtre ont remplacé à la fin du xixe siècle la charpente qui couvrait l'édifice.
La façade est caractéristique du style néo-classique, assez mal représenté dans la région. Elle se compose de trois portails en plein-cintre, encadrés de quatre pilastres doriques. L'ensemble est surmonté d'un vaste fronton triangulaire.
Le clocher borde la façade sur son côté gauche : des traces d'arcatures gothiques à sa base montrent que l'ancienne église était située un peu en retrait de l'actuel édifice, débordant probablement sur le parvis. Ce clocher carré et massif abrite trois cloches : Jeanne, un bourdon de 675 kilos sonnant le Fa, est la plus ancienne. Elle fut bénite en 1890, sous le pontificat de Léon XIII. Deux cloches plus petites, Lucie et Anne-Radegonde, furent installées dans le clocher le 6 décembre 2000. La première, pesant 96 kilos, sonne le Fa (une octave au-dessous de Jeanne ), la seconde, pesant 128 kilos, sonne le Mi-bémol.
Deux pinacles témoignent des dégâts infligés au clocher lors des combats de 1622. Avant cette date, il comportait deux pinacles supplémentaires, encadrant une flèche. Restauré par l'architecte Marc Roberti entre 1896 et 1898, ce clocher, qui est devenu l'un des symboles de la ville, est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1925
De l'édifice initial, détruit par des combats au début du xviie siècle, ne subsiste que le clocher, édifié au xve siècle. Le sanctuaire actuel, reconstruit dès la fin du xviie siècle et plusieurs fois remanié par la suite, forme un plan en croix latine.
La nef unique comprend trois travées, éclairées de baies en plein-cintre ornées de vitraux de facture récente. Le chevet, très sobre, est constitué d'un mur aveugle, de même que les deux croisillons. Des voûtes en plâtre ont remplacé à la fin du xixe siècle la charpente qui couvrait l'édifice.
La façade est caractéristique du style néo-classique, assez mal représenté dans la région. Elle se compose de trois portails en plein-cintre, encadrés de quatre pilastres doriques. L'ensemble est surmonté d'un vaste fronton triangulaire.
Le clocher borde la façade sur son côté gauche : des traces d'arcatures gothiques à sa base montrent que l'ancienne église était située un peu en retrait de l'actuel édifice, débordant probablement sur le parvis. Ce clocher carré et massif abrite trois cloches : Jeanne, un bourdon de 675 kilos sonnant le Fa, est la plus ancienne. Elle fut bénite en 1890, sous le pontificat de Léon XIII. Deux cloches plus petites, Lucie et Anne-Radegonde, furent installées dans le clocher le 6 décembre 2000. La première, pesant 96 kilos, sonne le Fa (une octave au-dessous de Jeanne ), la seconde, pesant 128 kilos, sonne le Mi-bémol.
Deux pinacles témoignent des dégâts infligés au clocher lors des combats de 1622. Avant cette date, il comportait deux pinacles supplémentaires, encadrant une flèche. Restauré par l'architecte Marc Roberti entre 1896 et 1898, ce clocher, qui est devenu l'un des symboles de la ville, est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1925
Fermée au public depuis 2020 a cause des risques d'éboulements !
Offrez-vous une visite unique sur les falaises calcaires de Meschers ! Anciennes cachettes, refuges et même guinguettes, ces grottes troglodytiques suspendues à flanc de falaises, sont aujourd’hui des musées qui recèlent bien des trésors. Vous y apprendrez les origines des noms Régulus et Matata, la légende de Cadet, la vie de Marie Guichard, les pêches traditionnelles…
Lieu de promenade, le port ouvre la vue sur la baie et les carrelets de Port Maran.
Au gré des marées, vous pourrez embarquer pour découvrir cette rive de l’estuaire, côté mer.
Vue imprenable sur les grottes garantie !
Le soir venu, dînez dans un des restaurants du port avant un concert en ville ou une soirée dans un des bars de plage.