D'ores et déjà, Bravo, Félicitations et Merci à la ville de Châteauroux pour la gratuité des transports en commun.
Enfin une ville qui a tout compris
17, avenue Daniel Bernardet
Camping Le Rochat Belle Isle ***
36000 CHATEAUROUX
Latitude : (Nord) 46.82387° Longitude : (Est) 1.69501°
Tarif : 2018
Emplacement, C-C : 5,50 à 6,50 €
Personne + 10 ans : 4,50 à 5,50 €
Enfant - 10 ans : 3,50 à 5,50 €
Électricité : 3,70 €
Taxe de séjour + 18 ans : 0,35 €
Carte ACSI
La première pierre de l'église Notre-Dame de Châteauroux a été posée en 1882. Son architecte est un enfant du pays : Alfred Dauvergne (1824-1885), également père de l'église Saint-André. Notre-Dame est élevée en partie sur des terrains où s'élevaient d'anciens remparts de la ville. L'édifice, de style néo-roman, sera consacré en octobre 1895.
Son aspect extérieur est d'un néo-roman particulièrement travaillé : un remarquable chevet étale ses chapelles rayonnantes au milieu d'un jardin tandis que corniches et modillons rivalisent pour être à la place d'honneur dans la décoration. Une imposante statue de la Vierge en cuivre doré trône au sommet du dôme. La nef et le chœur, quant à eux, sont ornés de très nombreux chapiteaux sculptés, œuvre du sculpteur castelroussin Girault-Dauphin. Cependant l'un des intérêts artistiques de l'église Notre-Dame demeure sa magnifique verrière due à l'atelier Lobin dans les années 1880. Cette page en donne un large aperçu et la galerie des vitraux la donne en totalité. La verrière comprend essentiellement des vitraux à personnages (comme les deux célèbres bergères sainte Solange, patronne du Berry, et sainte Germaine), mais on y trouve aussi des scènes historiées comme l'intéressante scène des âmes du purgatoire implorant la Vierge.
L'église Saint-André de Châteauroux n'est pas une cathédrale, mais elle en a la dimension. La municipalité fit commencer un premier édifice en 1845, mais la construction s'arrêta en 1848. Les événements politiques et les critiques sur le choix de l'emplacement eurent raison des bonnes volontés. En 1869, on démarra les travaux d'une nouvelle église, à quarante mètres de la précédente - celle-ci étant définitivement abandonnée. L'architecte en était un enfant du pays, Alfred Dauvergne, qui construira également l'église Notre-Dame de Châteauroux dans la décennie suivante. Dauvergne, architecte départemental de l'Indre, opta pour un style néo-gothique très traditionnel.
Tout devait être terminé en novembre 1873, au jour de la Saint-André. Là encore, le bâtiment joua de malchance. Les événements de 1870-1871 en retardèrent la construction. L'église ne fut achevée qu'en 1876.
À Châteauroux, l'église Saint-André ne passe pas inaperçue : 87 mètres de long sur 35 mètres de largeur au transept, et les deux flèches de la façade qui culminent à 60 mètres. Pour les Castelroussins, c'est la «cathédrale» avec ses deux grandes rosaces dans le transept, enrichies de galeries de saints et de saintes. Le Moniteur de l'Indre, dans son numéro du 22 juillet 1876, précisa que le bâtiment avait été réalisé par tous les corps de métier existant à Châteauroux. Ainsi il était pratiquement le produit complet de l'industrie locale. La plus grande partie de la verrière vient des ateliers Lobin à Tours.
Attestée dès le 12e siècle, l’église Saint-Martial est aujourd’hui la plus ancienne église de Châteauroux. Elle a cependant été très remaniée au cours des siècles, notamment au 19e par Alfred Dauvergne. L’édifice se compose d’une nef unique à chevet plat, flanquée à l’ouest d’un imposant clocher édifié dans la seconde moitié du 16e siècle. Les vitraux : Les deux verrières figurées de cette église ont été réalisées en 1883 et 1888 par Armand Clément, ancien élève de Julien-Léopold Lobin et ancien associé de Julien Fournier, installé à Saint-Michel de Chédigny (Indre-et-Loire) à partir de la fin des années 1870.
Au cœur de la ville, le parc Daniel-Bernardet, site de Belle-Isle, offre un cadre de verdure exceptionnel de 12 hectares et un lac de 8 hectares. Un lieu idéal pour les activités de plein air. On peut s'y baigner (lac surveillé l'été) et y pratiquer des sports nautiques (canoë kayak, planche à voile, optimist, pédalo 2 et 4 places, stand-up paddle, etc.). Un parcours de santé est même proposé aux amateurs de jogging. On y trouve également des jeux pour les enfants et un parcours d'orientation. Un restaurant « La Guinguette » accueille les promeneurs, pêcheurs ou baigneurs.
c'est une partie de l'héritage castelroussin. Forme audacieuse, programmation innovante, ce paquebot de la Culture offre aux Castelroussines et aux Castelroussins des saisons toujours plus surprenantes et fait de Châteauroux un pôle de référence dans le domaine culturel.
À la découverte d'Équinoxe - La grande scène
Une architecture audacieuse
L'audacieuse architecture de cet édifice offre un profil gracieux et surprenant. Elle esquisse un mouvement dans l'espace comme une invitation au voyage, un appel à l'imaginaire pour les lecteurs et les spectateurs. La forme résolument démarquée de l'ensemble assure le lien avec l'environnement architectural.
Les structures quant à elles procèdent d'une volonté d'opposition esthétique : le jour pour "la médiathèque" et la nuit pour "La grande scène". La grande scène, consacrée au spectacle, est un espace impressionnant, magique et secret car refermé sur lui-même. La médiathèque au contraire, symbolise l'échange, l'ouverture, donc la transparence pour faciliter les relations entre l'intérieur et l'extérieur.
La forme de la couverture, combinant sphère et ellipse et ne répondant à aucune forme géométrique connue, a constitué la principale difficulté de ce chantier. La vêture de la coque est constituée de deux peaux, une première conçue pour l'étanchéité, la seconde en aluminium pour l'esthétique. Il aura fallu 15000 heures de travail sur 8 mois de chantier et 12 compagnons en permanence sur le site pour concevoir, réaliser et poser au laser les quelques 3600 plaques, toutes différentes (deux seulement étaient identiques). L'entreprise Rousseau installée à Châteauroux peut être fière de son travail. La charpente mérite également que l'on s'y arrête. Cet ensemble de tiges, de poutres et de tubes d'acier a nécessité un travail gigantesque, d'une extrême précision de la part de l'entreprise castelroussine Renaudat ; 6000 heures d'études sur la base d'un modèle informatique en 3 dimensions conçu spécialement pour ce chantier ; 12000 heures de fabrication pour l'ossature métallique et 3000 heures supplémentaires pour la fabrication de la charpente scénique.
Attestée dès le 12e siècle, l’église Saint-Martial est aujourd’hui la plus ancienne église de Châteauroux. Elle a cependant été très remaniée au cours des siècles, notamment au 19e par Alfred Dauvergne. L’édifice se compose d’une nef unique à chevet plat, flanquée à l’ouest d’un imposant clocher édifié dans la seconde moitié du 16e siècle. Les vitraux : Les deux verrières figurées de cette église ont été réalisées en 1883 et 1888 par Armand Clément, ancien élève de Julien-Léopold Lobin et ancien associé de Julien Fournier, installé à Saint-Michel de Chédigny (Indre-et-Loire) à partir de la fin des années 1870.
La légende impériale est présente à Châteauroux grâce à l’action d’un personnage emblématique du Premier Empire, le général Bertrand. Né au château Raoul, Henri-Gatien Bertrand devient général, fidèle parmi les fidèles de l’empereur Napoléon Ier. Il est fait Grand Maréchal du Palais des Tuileries et grand aigle de la légion d’honneur. Sous le Premier Empire, il est au sommet de l’État, il est de tous les combats, de tous les projets impériaux et accompagne l’empereur sur tous les fronts, jusqu’en exil. À l’île d’Elbe d’abord, puis à Sainte-Hélène. C’est Bertrand qui ramènera les cendres de Napoléon quelques années plus tard aux Invalides, au terme d’un dernier voyage « impérial ». Sa dernière demeure, l’actuel musée Bertrand, révèle un ensemble inédit de souvenirs et de reliques.