N 47.8959 W 1.86064
Situé sur les bords de Loire à la sortie ouest d’Orléans (Loiret 45) et à 2 km de son centre, le camping municipal "Gaston Marchand" vous accueille avec ses 32 emplacements ombragés.
Vous pouvez retrouver à proximité du camping, le grand centre commercial des Trois Fontaines, le centre aquatique avec sa piscine à vagues et plusieurs commerces de proximité en centre-ville.
Le camping, rue de Roche, est accessible par la route nationale au 152. Pour tout contact par téléphone (en période d'ouverture du camping) :
tél. 02 38 88 39 39 aux heures d'ouverture de l'accueil.
Jours d'ouverture du camping
· du vendredi 21 juin au lundi 23 septembre 2019
Les horaires
· Heures d’ouverture du camping et du bureau d'accueil : de 7h30 à 10h30 et de 15h30 à 21h00 (Le silence doit être total entre 22h et 7h).
· Le portail est fermé en dehors de ces heures.
· Sortie possible par digicode.
ORLÉANS LA CHATOYANTE
Elle a tout d’une grande… la qualité de vie en plus !
Ancienne ville royale, capitale régionale, Orléans est une ville à taille humaine qui a tout pour
vous séduire et vous étonner.
« Orléans ?… On y passe, mais on ne s’y est jamais arrêté ».
Il est temps de corriger ça
Primo, parce qu’Orléans a sorti échafaudages et pinceaux pour se refaire une beauté depuis quelques années. Et quelle beauté !… Non seulement on a retrouvé les pans-de-bois qui avaient disparu sous les crépis des façades, mais ces derniers ont aussi récupéré leurs belles couleurs d’origine. La vieille ville, qui faisait autrefois plutôt grise mine, est aujourd’hui métamorphosée : pimpante, chatoyante et animée… Avis aux amateurs de terrasses !
Deuxio pour constater que le plus grand changement et la plus belle réussite de cette rénovation ont été la redécouverte des charmes des bords de Loire : Orléans est née et a grandi dans l’animation bouillonnante des quais de la Loire (c’était au 18e siècle le port principal qui approvisionnait Paris). Mais avec la naissance et le développement du chemin de fer, la ville s’est détournée de son fleuve pour ne le retrouver que très récemment. Aujourd’hui, les quais arborés accueillent promeneurs cyclistes et animations.
CE QU’IL NE FAUT PAS RATER…
Jeanne d’Arc !
Si vous la ratez, vous êtes très fort : elle est partout ! La raison ? Elle a joué le 8 mai 1429 un rôle décisif dans la libération de la ville occupée par les Anglais. Attendez-vous à la croiser fièrement dressée sur son cheval sur la belle Place du Martroi. A la retrouver dans la cathédrale et dans les salles de l’Hôtel de ville. Mais aussi à l’apercevoir gravée sur les clous qui dessinent les passages piétons ou peinte sur les boîtes de café ou de cotignac… Jeanne n’est jamais aussi présente - et en chair et en os cette fois - que début mai, pour les Fêtes Johanniques qui lui rendent hommage tous les ans.
Une curiosité à observer de près : les rosaces du transept. Elles ont été commandées par Louis XIV. Pour le remercier, un soleil aux couleurs du levant et du couchant a été ajouté aux vitraux. A l’extérieur de la cathédrale, le roi en personne vous nargue de sa superbe sous sa modeste devise “Nec pluribus impar” (au-dessus de tout). Amusez-vous à dénicher le royal minois au centre des deux rosaces !
Ce très bel hôtel Renaissance est devenu Hôtel de ville après la révolution. C’était « la chambre d’hôte des Rois ». L’un d’entre eux y est même mort : trouverez-vous lequel ?
Plafonds à caisson, murs tendus de toile peinte émaillée, lambris à moulures, mobilier recouvert de cuir de Cordoue et lourdement sculpté, tapisseries d’Aubusson… Rien n’était trop beau pour Jacques Groslot, bailli d'Orléans et féru de modernisme !
Entrée et visite libre en dehors des cérémonies.
C'était le lieu où l'on exécutait les condamnés et servait de marché aux blés.
Cette place fut intégrée à la ville lors de la construction de la seconde enceinte au 14e siècle. Quelques vestiges de la Porte Bannier sont encore visibles dans le parking sous la place.
De la cathédrale à la Loire, la vieille ville s’étend de part et d’autre de la rue de Bourgogne, son axe principal, le plus
ancien et le plus animé.
Le nez en l’air, promenez-vous de rues en places piétonnes riches en maisons Renaissance en pierre ou en pan-de-bois : rue de la Poterne, de la Charpenterie, de l’Empereur, des Halles, place de Loire, du Châtelet, de la République…C’est lequartier des restaurants, des terrasses ombragées, mais aussi des pubs et bars branchés appréciés des noctambules.
est une maison à pans de bois, reconstitution des années 60 de la demeure de Jacques Boucher, trésorier général du Duc d’Orléans, qui hébergea Jeanne d’Arc du 29 avril au 9 mai 1429 durant le siège d’Orléans. Restructurée et modernisée la Maison de Jeanne d’Arc propose aux visiteurs : Au rez-de-chaussée une salle multimédia diffusant un film panoramique sur la Guerre de Cent Ans, la vie de Jeanne d’Arc et son souvenir à Orléans et proposant des bornes interactives, une frise chronologique illustrée et une cartographie de l’épopée de Jeanne. A l’étage le centre Jeanne d’Arc, le plus grands fonds documentaires consacré à Jeanne d’Arc et son époque : 37 000 documents (livres, revues, cartes postales, gravures, affiches, films, objets etc.).
Le Pass donne l'accès libre et continu à la Maison de Jeanne d'Arc, au Musée des Beaux-Arts et au Musée d'histoire et d'Archéologie tarifs réduits programmations Mairie d'Orléans à la Salle de l'Institut et au théâtre Gérard Philippe, et au Parc Floral.est une maison à pans de bois, reconstitution des années 60 de la demeure de Jacques Boucher, trésorier général du Duc d’Orléans, qui hébergea Jeanne d’Arc du 29 avril au 9 mai 1429 durant le siège d’Orléans. Restructurée et modernisée la Maison de Jeanne d’Arc propose aux visiteurs : Au rez-de-chaussée une salle multimédia diffusant un film panoramique sur la Guerre de Cent Ans, la vie de Jeanne d’Arc et son souvenir à Orléans et proposant des bornes interactives, une frise chronologique illustrée et une cartographie de l’épopée de Jeanne. A l’étage le centre Jeanne d’Arc, le plus grands fonds documentaires consacré à Jeanne d’Arc et son époque : 37 000 documents (livres, revues, cartes postales, gravures, affiches, films, objets etc.).
Comme son nom l’indique, ce superbe espace engazonné était l’ancien cimetière de la ville. Bâti au XIIe siècle, il n’en reste aujourd’hui que ces enfilades d’arcades du XVe et XVIe s. qui abritent les artisans du marché médiéval des Fêtes de Jeanne d’Arc. Fermé au XVIIIe s., il fut souvent réaménagé. Il accueille désormais de nombreux événements culturels de la ville.
La tour Saint-Paul, achevée en 1627 et cédée à la paroisse en 1818, était le clocher de l’église éponyme. Épargnée, alors que l’église a été détruite par les bombardements de 1940, son rez-de-chaussée abrite un musée qui conserve les vestiges découverts lors du déblaiement de l’église Saint-Paul.