Toulouse


Camping Le Rupé

14 Km

0 h 28


Étape idéale pour visiter la ville Rose, le camping Toulouse le Rupé se situe au nord de la ville dans la base verte de Sesquières (150m du Canal de Garonne, sortie Pont de Rupé).

Ouvert toute l'année le Camping Toulouse Le Rupé se situe au nord de la ville dans la base verte de Sesquières, à proximité de la RN 20 et du Canal Latéral.

Le Capitole au centre ville à 7 km, est accessible en bus + métro, en voiture, ou encore à vélo par les berges du Canal.

Le Camping Toulouse le Rupé est l'étape idéale pour visiter la ville Rose.

ouverture : toute l'année

Adresse: 21 chemin du pont de rupé

Télephone: 0561700735

Courriel : campinglerupe@orange.fr

Située au coeur du Sud-Ouest, Toulouse mérite son nom de ville rose à juste titre. La couleur rosée de la brique de ses édifices et de ses demeures procure à l'ensemble un charme indéniable.

 

Réputée pour son ambiance où il fait bon vivre, Toulouse est aussi une ville d'Art et d'Histoire disposant d'un important patrimoine architectural et artistique qui a su être magnifiquement préservé au fil des siècles. C'est avec enchantement que l'on découvre son centre historique qui regorge d'hôtels particuliers Renaissance. Une merveille ! Ce privilège fait de Toulouse la ville de France la plus riche en matière d'hôtels particuliers Renaissance. Ces demeures prestigieuses qui furent édifiées au XVIe siècle par de riches marchands de pastel témoignent de la période faste que connut la ville lors de l'époque du commerce du pastel. Cette plante tinctoriale était alors cultivée dans les plaines alentours du Lauragais. Parmi les plus beaux édifices Renaissance de la ville figurent l'hôtel d'Assézat qui abrite aujourd'hui la fondation Bemberg, un musée privé renfermant une collection de peintures ; l'hôtel de Bernuy, flanqué d'une tour octogonale ; l'hôtel du Vieux-Raisin ; l'hôtel de Clary ou hôtel de Pierre.

 

Lieu incontournable, la place du Capitole constitue le coeur même de la ville. Cette place fort animée est entourée de beaux bâtiments comme le Capitole, édifice du XVIe siècle abritant l'Hôtel de Ville et le Théâtre. A l'arrière de ce prestigieux bâtiment à huit colonnes se trouve un donjon du XVIe siècle, l'ancienne tour des Archives qui est aujourd'hui le siège de l'office du tourisme.

 

Place ensuite aux monuments religieux remarquables de la vieille ville : la basilique Saint-Sernin et son clocher octogonal, un chef-d'oeuvre de l'art roman ; l'ensemble conventuel des Jacobins, un joyau de l'art gothique languedocien, avec sa belle église en brique et son cloître.

 

Propices à la flânerie, les rives attractives de la Garonne, notamment la promenade Henri Martin et le quartier de la Daurade, sont forts agréables pour se balader et se prélasser au soleil.

 

Les rues pleines de vie du centre historique sont jalonnées d'un grand nombre de cafés et de boutiques. Idéal pour le shopping ou pour siroter un verre à l'une des nombreuses terrasses de cafés. A Toulouse, fêtards et amateurs de sorties ont vraiment de quoi se réjouir avec les multiples restaurants, théâtres, salles de spectacle, bars, pubs et boîtes de nuit. De plus, dès la tombée de la nuit, les bâtiments, monuments et demeures de la vieille ville se parent de jolies lumières. Une superbe mise en valeur "by night" de la beauté du patrimoine toulousain.

 

Ville d'Art et d'Histoire, Toulouse est également un pôle tourné vers l'avenir et l'innovation, avec son centre aéronautique et son centre spatial. Certains aspects de ces deux grands domaines sont rendus accessibles au public, avec la Cité de l'Espace qui propose des expositions interactives et des spectacles, et avec les ateliers Airbus qui permettent entre autres de découvrir au travers de visites guidées le nouvel Airbus A380.

À VOIR, À FAIRE


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Balade en petit train touristique

Office de Tourisme - Square Général de Gaulle

Place du Président Wilson

Ce lieu peut être le plus animé de Toulouse pour son métro, ses boutiques, cinémas, restaurants et rues commerçantes qui l’entourent. Il est nommé ainsi en hommage à l’ancien président des États-Unis : Woodrow Wilson qui avait été un allié important de la France lors de la Première Guerre mondiale. On impose, dès son projet de construction, une forme ovale desservant plusieurs rues en étoile et un modèle uniforme de façades avec un rez-de-chaussée dédié aux magasins. Elle était prédestinée à être un lieu de rencontre ! Véritable pause dans la ville, la place met à l’honneur le poète toulousain Pierre Goudouli en lui dédiant un jardin et une fontaine.

Place du Capitole

Le Capitole est un passage  incontournable pour les toulousains et les visiteurs. Il a été terminé sous sa forme actuelle en 1759, avec une façade longue de plus de 128 mètres. Ses huit colonnes représentent les huit Capitouls qui géraient la ville à partir du XIIe siècle. Aujourd'hui, le Capitole est toujours l'Hôtel de Ville de Toulouse. Il renferme de splendides peintures dans ses salles : salle Gervais, salle Henri Martin et surtout salle des Illustres. A l'extérieur, la cour Henri IV a été restaurée et une croix du Languedoc de bronze a été tracée au centre de la place. Depuis 300 ans, le Donjon, actuellement siège de l'Office du Tourisme, a remplacé une ancienne tour de défense.

Le Capitole - L'Hôtel de Ville

Fondation Bomberg

A quelques centaines de mètres des Augustins, en allant vers la Garonne, l'hôtel d'Assézat, chef-d'oeuvre de la Renaissance, accueille la fondation Bemberg, établie à Toulouse par un mécène issu d'une famille d'industriels allemands, installés en Argentine. L'histoire dit que Georges Bemberg, francophile convaincu, acheta son premier tableau, une gouache de Pissaro, à l'âge de 20 ans, pour 200 dollars. Depuis 1995, La Ville de Toulouse a mis à sa disposition l'hôtel d'Assezat pour que le public puisse profiter de sa collection qui compte entre autres une trentaine de tableaux de Bonnard. Les locaux, récemment agrandis grâce à l'acquisition d'un immeuble voisin, permettent d'accueillir de nouvelles œuvres et une salle de conférences. On peut admirer des œuvres de Cézanne, Signac, Picasso, mais aussi du mobilier ancien et des objets d'art du XVIe au XVIIIe siècle.

Construit à la demande de Pierre d'Assézat, en 1555, c'est un édifice emblématique de la riche époque pastelière et des Capitouls. Il a sans doute été réalisé par Nicolas Bachelier, architecte et sculpteur qui a marqué toute la Renaissance toulousaine. Cet hôtel a été rénové par la Ville de Toulouse pour accueillir la fondation Bemberg. On y découvre une salle consacrée au peintre Bonnard, mais on peut aussi voir des peintures de la Renaissance, des Corot, Van Dick, Manet, le Tintoret…

Ce magnifique hôtel particulier a été commandité en 1555 par le riche marchand et capitoul Pierre d’Assézat. Le plus grand architecte toulousain de la Renaissance, Nicolas Bachelier, construit les plans et c’est son fils qui termine la construction en 1562. C’est un chef d’œuvre de l’architecture de la Renaissance à Toulouse.

La cour d’honneur

Dès l’extérieur on devine la magnificence de cet hôtel. Le portail monumental, mélange de puissance et de délicatesse avec ses décors architecturaux en pierres saillantes nous invite à entrer dans l’immense cour d’honneur.

Les façades de la cour affichent avec élégance toute l’expression de l’architecture classique avec la superposition des trois ordres sur chacun des étages : dorique, ionique et corinthien.

La loggia est un véritable lieu de fraîcheur en plein été.

Pont neuf

est un pont de Toulouse qui enjambe la Garonne. 

Bien que son nom signifie "Nouveau Pont", il est en réalité le plus vieux pont de la ville. 

Sa construction a commencé en 1544 et s'est achevée en 1632. Le Pont Neuf a été conçu par l'architecte Jacques Lemercier, qui l'a rendu innovant pour son époque. 

Il reliait autrefois l'entrée de la cité, symbolisée par un arc de triomphe portant une statue équestre du roi Louis XIII. 

Cependant, cet arc de triomphe a été détruit en 1860. 

Aujourd'hui, le Pont Neuf est l'axe principal entre les deux rives de la ville

Hôtel Dieu

Sur la rive gauche de la Garonne, cet édifice imposant a servi d'hospice durant huit siècles. Il a autrefois constitué une étape importante sur la route de Saint-Jacques de Compostelle. En 1257, il s'est développé sur l'emplacement de deux hôpitaux plus anciens : Sainte-Marie de la Daurade et Hôpital Novel. Confiés à la confrérie de Saint-Jacques, ils ont été réunis en un seul Hôpital devenu Hôtel-Dieu en 1554. Il accueillait tous les malheureux, mendiants, vagabonds, femmes de mauvaise vie et pèlerins. Son rôle était plus de recueillir que de soigner. Il n'est devenu un véritable centre de soins et d'enseignement qu'au XIXe siècle. Aujourd'hui, on y trouve le centre administratif du CHU et depuis peu, un musée de la médecine et un musée des instruments de médecine des Hôpitaux de Toulouse.

Port de la Daurade et la Garonne

 Pont St Pierre

Le plus beau pont de la ville avec la chapelle de la Grave en fond, c’est votre moment photo typique de la ville ! Le pont Saint-Pierre était à la base, un pont à péage en bois, à une époque où piétons et calèches se partagent la route. Très abîmé par des inondations, on le reconstruit en pont suspendu. Et puis finalement avec tellement de trafic routier et le poids des camions qui augmente, la ville décide de financer la reconstruction du pont, tel que vous le voyez aujourd’hui. Et c’est joli.

Basilique Notre Dame de la Daurade

Vous êtes devant la basilique de la Daurade avec un beau panorama sur la rive gauche de Toulouse. La proximité des quais vous fait sûrement penser que le nom Daurade a forcément un rapport avec le poisson !

He bah pas du tout !. Daurade ici vient de Dorada ou Deaurata, dorée, car des fouilles ont permis de se rendre compte que l’Église primitive avait été construite sur une chapelle palatine wisigothe recouverte de feuilles d’or. Mais vraiment, si elle ne paye pas de mine d’extérieur, faites-nous confiance et entrez à l’intérieur rencontrer la célèbre vierge noire. Du haut de ses deux mètres, la protectrice de la ville et des femmes enceinte arbore fièrement des robes des plus grands couturiers de France ! 

Au XVIIIe et XIXe siècle, il était commun de la parader dans les rues, au lendemain d’une catastrophe par exemple. On lui offrait donc une robe pour l’occasion. Mais ses robes usées ne sont plus à la mode, et la paroisse décida de contacter les plus grands noms de la haute couture dans l’espoir que l’un d’eux réponde à l’appel ! Elle a aujourd’hui une nouvelle garde-robe à faire pâlir d’envie toutes les fashions victimes ! 

Musée des Arts

 

Hôtel de Bernuy

 

C'est une partie de l'actuel lycée Pierre-de-Fermat. Cette demeure a été construite entre 1530 et 1550 par Jean de Bernuy, négociant enrichi par le commerce du pastel. On admirera la porte d'entrée sculptée, côté conciergerie, et surtout le splendide escalier intérieur.

Au détour des rues....

Basilique Saint Sernin

Après le Capitole, c'est le second monument emblématique de Toulouse. La Basilique a été bâtie au XIe siècle pour commémorer la mémoire de Saint-Sernin, premier évêque et martyr de Toulouse. C'est le plus vaste ensemble roman au monde et sans doute l'un des plus beaux. En 1096, la partie orientale de l'église, le déambulatoire, les chapelles et le chœur étaient achevés. La seconde partie de l'édifice, la nef, la façade et les deux tours ont été lancées plus tard par le chanoine Gairard. La basilique a subi depuis sa construction de nombreuses restaurations dont celle de Viollet-le-Duc. Il y a quelques années, un nouveau chantier a redonné à Saint-Sernin son aspect original. Aujourd'hui, elle reste cette magnifique "fleur de corail" chantée par Nougaro.

 

Cathédrale St Etienne

 

La construction de la cathédrale s'est étendue sur cinq siècles, du XIIIe au XVIIe siècle. C'est l'un des monuments les plus curieux de Toulouse car il s'agit en fait d'un collage de plusieurs édifices, au fil des siècles. Peu classique, elle est remarquable pour sa rosace et ses 17 chapelles.

Le Grand Rond Point

A propos du jardin du Grand-Rond

Le jardin du Grand Rond a obtenu en 2018, pour la première fois, le label Jardin Remarquable

Ce label consacre la rénovation complète de deux jardins liés par l’histoire et par des passerelles : le jardin du Grand-Rond et le jardin Royal, inaugurés respectivement le 17 juin 2017 et le 14 novembre 2018.

Cette rénovation, dans le respect du style paysager Second Empire, a été portée par les services des Jardins et Espaces Verts de la Mairie en lien avec l’Architecte des Bâtiments de France et en concertation avec les riverains. 

Allées, bordures des pelouses, bancs, réverbères, fontaines ont été restaurés ; des tables de lecture et pupitres ont été mis en place pour pouvoir mieux apprécier les multiples éléments remarquables de ces deux jardins historiques :

  • Arbres centenaires aux essences rares
  • Cèdres de l’Himalaya
  • Tulipier de Virginie
  • Oranger des Osages
  • Copalme d’Amérique
  • Platane aux dimensions exceptionnelles

  • Superbe ornementation florale avec des « corbeilles » de fleurs autour des statues d’inspiration mythologique ou locale,
  • Bancs aux ferronneries végétales dont les bancs-rambardes sur le pont en rocaille. 

Jardin royal

Inauguré en 1754, le Jardin Royal est un jardin à la française, typique du XVIIIe siècle, offrant une ambiance paisible et élégante.

Les allées du jardin se parent d’orangers, de majestueux cèdres du Liban et de gracieux gingkos, créant ainsi un cadre idyllique autour de son charmant petit étang et de ses statues disséminées à travers le parc.

Les promeneurs les plus attentifs remarqueront peut-être les quelques clins d’oeil au Petit Prince, qui ajoutent une touche de poésie à l’atmosphère du jardin, rappelant aux visiteurs l’univers magique et intemporel de ce chef-d’oeuvre de la littérature.

Le Château d'eau

La première fonction de ce château d'eau était de distribuer l'eau de la Garonne, captée et filtrée à quelques mètres de là, sur la prairie des filtres.

À sa mort en 1789, le capitoul Charles Laganne légua cinquante mille francs-or à la ville dans le but de « distribuer des eaux de la Garonne, pures, claires et agréables à boire ». Charles Laganne précise dans son testament que cette somme devra être utilisée au plus tard dix ans après la mort de sa veuve. 


Eglise Saint Pierre des Chartreux

Elle est le principal vestige du vaste couvent fondé par les Chartreux qui ont fui Saix, près de Castres, lors des guerres de religion. Ils démarrent la construction de leur monastère au début du XVIIe siècle. Le couvent connaît de nombreuses campagnes de travaux jusqu'à la Révolution française. Il est supprimé en 1790 et transformé en arsenal et magasin de poudre, tandis que l'église devient paroissiale sous le vocable de saint Pierre.

En franchissant le portail d’Antoine Bachelier, on accède à une cour formant narthex couverte de voûtes d’arêtes, qui permet l’accès aux fidèles. L’église a un plan original à deux nefs, autour de l’autel central monumental, qui traduit le vœu des religieux d'ouvrir leur église : une nef pour les fidèles, l'autre pour les moines.

Le décor intérieur d'une grande homogénéité (boiseries, sculptures ou peintures) présente quelques-uns des chefs-d’œuvre de l'art toulousain des XVIIe et XVIIIe siècles dus, entre autres, à Jean Baptiste Despax, Arthur Legoust ou François Lucas.

Le grand orgue provient du couvent des Jacobins, il est classé Monument Historique pour sa partie instrumentale.

Plaques d'égout


RESTE A VOIR

POUR UN PROCHAIN SEJOUR

Eglise Notre Dame du Taur

FERME LE LUNDI

L'église Notre-Dame du Taur est un édifice religieux catholique, qui se trouve dans le centre-ville de Toulouse.

L'église, construite entre le xive et xvie siècles, est un des principaux monuments de l'art gothique méridional. Elle est particulièrement célèbre pour sa haute façade, un clocher-mur qui s'insère dans les constructions de la rue.

Selon la tradition paléochrétienne, l'église a été édifiée à l'endroit où le corps martyrisé de l'évêque Saturnin se serait détaché du taureau qui le traînait derrière lui. Un martyrium y aurait été construit par l'évêque Hilaire, avant d'être agrandi par son successeur, Silve, à la fin du ive siècle.

Saint Saturnin était le premier évêque de Toulouse, martyrisé en 250. Un oratoire a tout d'abord été installé pour les pèlerins sur le lieu exact de sa mort, par saint Hilaire, troisième évêque de Toulouse : une voûte en brique surmontée d'un petit oratoire construit avec du matériel ordinaire

Une ancienne tradition indique que cet oratoire se situait à l'emplacement actuel de l'église.

Couvent des Jacobins

FERME LE LUNDI

Cet ensemble conventuel est un ancien couvent des frères prêcheurs construit entre la fin du XIIIe siècle et le début du XIVe. C'est un exemple d'art gothique languedocien. Le monument reçoit 200 000 visiteurs par an. La splendeur intérieure contraste avec la rigueur extérieure du monument. La double nef est séparée par des colonnes de 20 mètres de haut, et les nervures de l'abside forment le fameux palmier des Jacobins. Le cloître, lui, est réputé pour ses colonnettes et ses chapiteaux de marbre à décor floral et animalier.

 Musée des Augustins

A deux pas de la place Saint-Georges et de la cathédrale Saint-Etienne se trouve le véritable musée des Beaux-Arts de Toulouse. Créé en 1795 dans un ancien couvent, représentatif du style gothique médiéval, il a été l'un des tout premiers musées de France et s'est enrichi avec les saisies révolutionnaires. Depuis quelques années, une politique de rénovation a permis de mettre davantage les œuvres en valeur -la salle des sculptures au rez-de-chaussée est à voir absolument- et des expositions temporaires, composées pour partie d'œuvres du musée, et pour partie d'œuvres prêtées, permettent au public de redécouvrir progressivement un fonds très riche : on y dénombre plus de 4000 sculptures et peintures, dont des Rubens, des Delacroix, des Corot… Il faut aussi profiter de son cloître qui entoure l'ancien jardin botanique du couvent, sur lequel veille une rangée de terribles gargouilles.

Promenade en bateau sur la garonne

Prenez le large avec les Bateaux Toulousains

Les Bateaux Toulousains offrent une manière unique et mémorable d’explorer Toulouse depuis ses eaux, en naviguant sur la Garonne ou le Canal du Midi. Ces excursions en bateau permettent de découvrir la Ville Rose sous un angle différent, révélant la beauté et l’histoire de Toulouse au fil de l’eau.

La gamme de croisières proposées est variée, allant des tours panoramiques à l’ambiance paisible à des expériences thématiques incluant déjeuners ou dîners à bord, croisières dégustation de vins ou encore des excursions axées sur l’histoire de la ville et de ses voies navigables. Ces croisières offrent non seulement des vues imprenables sur des monuments emblématiques toulousains mais aussi une évasion relaxante loin de l’agitation urbaine.


Péniche de la violette

rend hommage à l’une des icônes de la ville : la violette de Toulouse. Amarrée sur le Canal du Midi, cette péniche unique est à la fois une boutique et un musée dédié entièrement à la violette, cette petite fleur délicate qui a longtemps fait la renommée de Toulouse.

À l’intérieur de la péniche, les visiteurs peuvent découvrir l’histoire de la violette à Toulouse, comprendre son cycle de culture, et explorer les différentes manières dont elle est utilisée aujourd’hui, que ce soit en parfumerie, en gastronomie ou en cosmétique.

Marché Victor Hugo

La réputation de la ville en matière de gastronomie est bien établie, et quoi de mieux pour en faire l’expérience que de se perdre à travers la diversité de ses marchés exceptionnels !

Flânez entre les 60 étals du Marché Victor Hugo, le plus ancien marché couvert du pays, ou parcourez les allées colorées du Marché des Carmes, où produits frais et spécialités artisanales vous attendent pour une expérience gustative unique.

Laissez-vous également embarquer par l’ambiance vibrante du Marché Couvert Saint-Cyprien, offrant pains, fromages, épices, et fruits de mer sous son splendide auvent d’origine.

Pour les gourmands en quête d’aventures culinaires, les visites guidées sont une excellente façon de plonger dans l’univers de ces délices culinaires, tout en se laissant conter les anecdotes qui se cachent derrière chacune de ces créations.

 Chapelle des carmélites

est un lieu emblématique de Toulouse, imprégné d’histoire et de spiritualité. Construite au XVIIe siècle, cette chapelle, située dans le quartier historique de la ville, témoigne de la richesse architecturale et culturelle de la région.

Son architecture remarquable, marquée par des éléments baroques et classiques, en fait un joyau du patrimoine toulousain. La façade ornée de colonnes, les sculptures délicates et les vitraux colorés témoignent du savoir-faire artisanal et artistique de l’époque.

En entrant dans la chapelle, les visiteurs sont accueillis par une profusion d’œuvres d’art qui ornent ses murs et plafond. Des fresques délicates, des sculptures finement ciselées et des vitraux colorés captivent le regard et invitent à la contemplation.

 

Jardin Japonais

Pour une escale aux confins de l’Orient, on s’offre une promenade zen dans le Jardin japonais, labellisé jardin remarquable.

Situé au cœur du parc de Compans-Caffarelli, le jardin japonais Pierre Baudis surprend par son exotisme. Véritable invitation à la méditation et au repos, il est la synthèse des jardins existants au Japon à Kyoto, construits entre le XIVe et le XVIe siècle.

Il est composé de tous les éléments caractéristiques : une mise en scène du monde minéral, du monde végétal et du monde aquatique parés d'éléments décoratifs typiques.

On y découvre un jardin sec avec une île Grue, une île Tortue et neuf rochers, un lac, un pavillon de thé et un jardin planté composé d'une cascade sèche, des pas japonais, une lanterne, un pont rouge, une île du Paradis, un mont Fuji et les pierres des trois saints.